Devant toi


Il s'est passé beaucoup de choses et énormément de bons moments, dans ce petit mas perdu en pleine garrigue, que j'occupais avec Christine.

Ce matin là, j'étais encore allongé dans notre lit (constitué d'un canapé convertible) au milieu de la pièce de séjour. Dans ce minuscule mas la cuisine était "américaine" et j'écoutais le café passer, après que Christine se soit levée pour mettre en marche la cafetière.

Juste recouvert d'un drap léger, je ressentais sans raison particulière une douce excitation et une bosse significative commençait à se dessiner sur le drap.

Toujours observatrice, Christine s'approcha de moi et s'assit sur le bord du lit. Elle posa doucement une main sur cette bosse naissante et dit :
- En forme ce matin, on dirait ...
- Oui, ai-je répondu ... et tu ne vas pas pouvoir me laisser comme çà.

Christine fit la grimace :
- je crois bien que si, il va falloir que tu te débrouilles tout seul.

Je secouais négativement la tête, mais Christine insista. A portée de main, sur la table basse du salon, il y avait un paquet de mouchoirs en papier. Elle sortit un mouchoir, le déplia et me le tendit :
- Aller, fais-moi voir comment tu fais, tout seul ...

Sa voix était rauque et tremblante d'une forte excitation. Elle tira sur le drap et me découvrit jusqu'au genoux.
- S'il te plait, montre moi !

Je descendit ma main vers mon sexe et commençais à me caresser, un peu gêné, même si cette situation m'excitait moi aussi. Christine ne perdait pas une miette du spectacle.
Mon sexe était dressé et je sentais mon plaisir monter. J'avais envie de sa main sur moi :
- Au moins, caresse moi un peu ...

Elle secoua la tête négativement et continua à observer ma masturbation. Elle avait quelques questions à poser et des commentaires à faire  :
- Tu aimes bien te caresser les couilles, comme çà ?
- J'aime bien te regarder, tu devrais te branler plus souvent devant moi ...
- Tu vas jouir ?
- Oui, accélère, viens !

J'éjaculais fortement dans le mouchoir que je tenais de ma main gauche en regardant Christine qui me regardait ... Elle me sourit :
- C'était bon, j'ai aimé ... beaucoup ... il faudra encore te masturber avec moi, beaucoup, partout ... je t'aime !